Les ouvrières de LISI Delle en GREVE

Par Laurent Dupré

1 100 à 1 200 euros par mois, voilà ce que gagnent en moyenne les ouvrières du site de Lisi II de Delle. Alors, lorsque leur patron et président du MEDEF local, Monsieur Colère, leur a annoncé le blocage de leur salaire, c’est la goutte qui a fait déborder le vase. Elles ont fait grève du mercredi, 17 avril après midi au lundi 22. Leurs revendications étaient simples : elles voulaient la dignité au travail et 35 euros brut d’augmentation mensuelle. Elles voulaient également un changement de leurs conditions de travail afin que cessent les pressions permanentes pratiquées par l’encadrement. Au final, elles ont obtenu de la direction 20 euros brut d’augmentation, plus 10 hypothétiques euros si elles atteignaient les objectifs fixés.

Mais à leur colère se mêle également l’inquiétude. En juin, la direction va engager des négociations sur l’organisation du temps de travail. Ça sent la loi « made in MEDEF » à plein nez, l’ANI sera effective à ce moment là et sans soutien, les ouvrières de Lisi se sentiront bien désarmées devant Monsieur Colère. Lire plus

Hôpital : Urgence…  c’est l’austérité !

L’austérité et la finance nuisent gravement à la santé. A l’occasion du dernier conflit en 2012 à l’hôpital de Belfort la politique austéritaire de la droite se traduisait par un manque de personnel et de moyens et par la suppression de services entiers au détriment des malades. Lire plus

L’éléphant rose, le vieux singe, le caméléon et le petit singe

Dans les fossés du château de Belfort existe un espace où de drôles d’animaux ont trouvé leur refuge. Lire plus

Appel des économistes pour une VIe République, contre la finance et l’austérité

« En finir avec les institutions de la cinquième République et redonner du pouvoir aux citoyens et aux citoyennes dans tous les domaines de la vie politique et économique »une soixantaine d’économistes de différents horizons expliquent ici pourquoi ils soutiennent « la marche citoyenne du 5 mai 2013 ». Lire plus

Editorial : Le coup de balai en démocratie et en République

Par Michel Renaud

C’est le printemps et il est de tradition d’utiliser le balai pour nettoyer, embellir, assainir la maison. Le coup de balai en démocratie et en République n’est rien de plus qu’une décision prise par le peuple lui même qui concerne les personnes mais surtout le système. Lire plus

Editorial : Une ambition pour le Front de Gauche à Belfort

Par Michel Renaud

Le Parti de Gauche du Territoire de Belfort a pris connaissance des déclarations formulées par les élus et la direction du Parti Communiste du Territoire de Belfort concernant les prochaines élections municipales à Belfort. Le contenu et la forme de cette conférence de presse appellent les  précisions suivantes :

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Le Parti de Gauche s’oppose à toute intervention militaire

Le Parti de Gauche est préoccupé par la tournure que prennent les évènements en Syrie. Le vote du parlement turc en faveur d’une intervention militaire en Syrie présage du pire. Une telle décision réduit les perspectives d’un règlement politique, augmente les risques de guerre entre Etats, et laisse planer la menace d’une intervention de l’OTAN, dont la Turquie est membre, ou d’une autre ingérence militaire étrangère qui se ferait contre les intérêts du peuple syrien ; ce à quoi le parti de gauche s’oppose fermement. Cette escalade militaire ne sert que des intérêts extérieurs capitalistes.

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Un élu exemplaire

La luxueuse plaquette « Osons » fait a la volonté de présenter des élus exemplaires pour présider à la gestion municipale de la ville de Belfort.

Dans ses premières déclarations en décembre 2012 concernant les techniques de « management » du personnel territorial, Monsieur PROUST a démontré qu’il n’aimait pas les fonctionnaires municipaux. Il considère que le personnel territorial est paresseux, et en conséquence il veut le mettre au travail…

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Communiqué Accord Nationale sur l’Emploi

Contre le projet de loi de démantèlement du Code du travail voulu par le gouvernement socialiste et le MEDEF

Communique FdG – ANI 6 avril 2013

La VIème République, point de départ d’une Révolution citoyenne en France.

Par Laurent Dupré

Le premier des points communs entre toutes les révolutions latino-américaines, c’est bien la révolution des institutions dans ces pays. Le premier acte de ces gouvernements progressistes a été de changer la constitution afin de rendre le pouvoir au peuple.

Le partage des savoirs, des richesses et des pouvoirs sont au cœur de notre projet de société, de ce socialisme du XXIème siècle que nous nommons écosocialisme. Ce projet ne peut se concrétiser que par une révolution citoyenne, une révolution civique, par les urnes et par la lutte. Et la première chose que nous ferions une fois au pouvoir, c’est de changer la règle du jeu institutionnelle.

Effectivement, peut-il y avoir réellement émancipation du peuple et de l’individu sans réappropriation populaire du politique ?

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